Le secret de ma grand-mère : transformer une carcasse de poulet en un bouillon précieux

Dans beaucoup de familles, certaines recettes ne sont pas écrites. Elles se transmettent dans les gestes, les odeurs, les silences complices d’une cuisine.
Chez ma grand-mère, le bouillon maison était ce rituel-là.

Elle récupérait toujours la carcasse du poulet du dimanche — jamais rien n’était gaspillé — et la transformait en un véritable élixir nourrissant. Sans grands mots ni discours santé… juste du bon sens, de l’intuition et beaucoup d’amour.

Pourquoi sa recette était si puissante ?

Elle savait, instinctivement, que les os contenaient quelque chose de précieux.
Elle ajoutait toujours :

  • quelques légumes oubliés au fond du panier,
  • un trait de vinaigre (pour extraire les minéraux),
  • des herbes du jardin,
  • et surtout… du temps.

Le bouillon mijotait lentement, pendant des heures, jusqu’à devenir ce liquide doré qui, selon elle, « redonnait des forces à n’importe qui ».

Bien avant que l’on parle de collagène, de glycine, ou de système immunitaire, elle voyait déjà son effet sur la famille :

  • les enfants enrhumés retrouvaient de l’énergie,
  • les articulations des aînés semblaient moins douloureuses,
  • la peau brillait davantage,
  • et chacun se sentait un peu plus apaisé après une tasse fumante.

Un rituel de soin autant qu’une recette

Ce bouillon, ce n’était pas qu’un aliment : c’était un geste de soin, une façon discrète de veiller sur les autres.

Aujourd’hui, avec Mon Bouillon, je perpétue cette tradition — en respectant les mêmes principes d’antan :
des ingrédients de qualité, une cuisson lente et une approche circulaire où rien n'est perdu.

Parce qu’au fond, ce que ma grand-mère m’a transmis, c’est l’idée qu’un simple bouillon peut transformer la santé… et la journée.